7 octobre 2010
Arras
Arras
Je reviens dormir chez toi
Tout simplement par choix.
M’arrêter, composer,
Tes rues, alimentent mes envolées.
Les lumières de ta « grand place »,
Eclairent mes pensées.
Quand la fraicheur me glace,
Au chaud, je vais me nicher.
La chaleur de tes habitants,
Attise en moi, un feu brulant.
Les poètes peuvent s’arrêter,
Car des rimes, tu fais germer !
Sur Arras, venez, vous poser !
Ici un poète est né.
Dans cette charmante ville,
Les rimes y sont si fertiles.
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